Tous les essentiels sur le DIF et la procédure de licenciement

On parle ici du dif ou Droit individuel à la Formation qui équivaut plutôt à un licenciement. Comment les salariés et son employeur présument de la station, et quels sont les pièges à éviter.

Qu’est-ce que le DIF ?

Le dif ou droit individuel à la formation est disponible à tout salarie. Si vous recevez du salaire régulièrement c’est que vous avez le droit de bénéficier cette formation. Selon la loi, la formation de la dif dure environ 20h au prorata du salarié ce qui équivaut à 120 par an. Vous pouvez demander à votre employeur de vous octroyer vos droits sans couper votre salaire. Si votre employeur persiste à nier votre demande d’if et vous menace de couper vos salaires, vous pouvez conquérir à l’aide de fongecif. Et sachez que depuis quelque temps déjà, la cpf s’est également intégrée dans ce droit. La cpf ou centre personnel de formation qui est un organisme rattaché au ministère et au pôle emploi afin de fournir les formations que chaque personne perçoit un salaire régulier. Les frais de cours sont déjà payés par votre les impôts tirés sur votre salaire mensuellement.

L’étiquette de licenciement

Le licenciement résume la rupture de votre contrat de travail du salarié dans une entreprise. Sachez que dès la cessation du contrat vous devrez informer le responsable de l’indemnité de chômage. Dans le code de travail français, une entreprise n’a pas le droit de licencier une personne salarié sans motif ou une justification. On a donc deux types de motifs de licenciement : motif personnel et économique.

Le licenciement à motif personnel est lié au comportement lié à son travail. On peut aussi parler de faute personnelle quand on sent l’inaptitude de fournir un bilan de travail impeccable à l’entreprise. L’employé ne dispose pas des compétences de source professionnelle pour exécuter le travail. On peut aussi considérer comme une faute professionnelle les absences répétées au travail qui finissent par troubler le bon fonctionnement de l’entreprise. Sauf en cas de faute grave ou de délit, de vol, l’entreprise a le droit à la rupture de votre contrat sans préavis et sans donner vos salaires. Par contre si le motif de licenciement des salariés est simple, vous aurez une indemnité de préavis équivaut à trois mois de salaire. Dans tous les cas, vous pouvez vous inscrire chez pôle emploi et bénéficier d’une indemnité de chômage juste au moment de l’arrêt du contrat. À condition que le motif de licenciement indiqué soit à titre simple. Il existe des motifs qui ne peuvent pas vous conduire à un licenciement.

Enfin, des motifs qui ne peuvent pas conduire à un licenciement

Selon la loi, vous avez vos droits de poursuivre cette formation de DIF. Votre employeur ne peut vous licencier parce que vous avez assisté au cours, dans ce cas, il va falloir fournir les preuves que vous étiez au cours au moment de votre absence. Le fait de faire la grève ne donne pas le droit à votre employeur de vous licencier. Le fait d’être enceinte vous procure un état d’inaptitude à travailler, pareil pour la maladie, ce sont des motifs d’absence qui ne peuvent pas se considérer comme cause de licenciement.